Nous dormirons quand nous serons vieux Full Ebook [PDF]
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Détails sur le produit
- Rang parmi les ventes : #434449 dans Livres
- Publié le: 2017-01-05
- Sorti le: 2017-01-05
- Dimensions: 8.86" h x
1.30" l x
5.55" L,
- Reliure: Broché
- 427 pages
Commentaires clients
Commentaires clients les plus utiles
1 internautes sur 1 ont trouvé ce commentaire utile.Un roman vénéneux.
Par nickw553
L'auteur dresse un portrait au vitriol d'un certain univers cinématographique italien à travers le parcours chaotique de ses trois personnages principaux. Le producteur Oscar Martello, tout d'abord, personnage haut en couleur, prêt à tout pour réussir. Le scénariste désabusé Andrea Serrano qui entretient avec Martello une relation ambigue et plutôt malsaine. Et Jacaranda Rizzi, actrice au charme dévastateur, mais aussi experte manipulatrice avec des tendances suicidaires et au passé trouble. La réunion de ses trois personnages va engendrer un cocktail explosif dont tous ne sortiront pas indemnes.Ce premier roman de Pino Corrias est plutôt réussi. Il est très bien écrit et agréable à lire grâce à un style vivant et à des détails croustillants sur le milieu du cinéma italien. Parfois, le langage est bien fleuri et l'auteur n'a pas hésité à forcer le trait pour rendre ses personnages intéressants, quitte à en faire presque des caricatures. En tout cas, tous les ingrédients sont réunis pour attiser l'intérêt du lecteur avec du sexe, une histoire d'amour tragique et des faux-semblants à la pelle.Une histoire très plaisante donc, même si, personnellement, j'ai eu du mal à m'attacher aux personnages et à leur destinée.
1 internautes sur 1 ont trouvé ce commentaire utile.sombre
Par Bahia
Trois personnages principaux assoiffés d’amour et de reconnaissance vont se confronter dans ce premier roman de Pino Corrias, dont la profession est journaliste.Le lecteur est d’emblée plongé dans le monde démesuré du cinéma italien des années cinquante, avec tous ses codes bien marqués et ses excès.Oscar Martello, producteur sans scrupules, va ourdir une machination diabolique afin de promouvoir son film dont il pressent les faiblesses.Malgré un certain talent narratif, l’auteur peine un peu à transporter son lecteur, peut-être par le manque d’empathie suscité par ses personnages, dont la face sombre est assez déprimante.Une lecture sans déplaisir donc, malgré quelques passages un peu faibles
0 internautes sur 0 ont trouvé ce commentaire utile.dolce vita empoisonnée
Par lUnstOne
Lire Pino Corrias, c’est déjà, en soi, entrer dans le scénario d’un film. L’auteur, journaliste de profession, signe avec Nous dormirons quand nous serons vieux son premier roman… et il en ressort un talent inné pour capturer les détails, esquisser des portraits au point que quelques traits suffisent à nous rendre les personnages familiers.On plonge dans un monde qui s’écrit avec force superlatifs tant il est habité par la démesure à tous les niveaux. Ce monde, c’est celui du cinéma italien qui fait du bruit sans élégance. Celui de tous les professionnels qui rêvent d’entrer dans l’histoire avec des films qu’on retiendra mais qui vivent avant tout d’intrigues sans signification profonde qui sauront séduire la ménagère.On assiste, mi-horrifié, mi-fasciné, au défilé d’une cohorte de corps qui se livrent à tous les excès : sexe, drogue, argent, malhonnêteté…Oscar Martello, au cœur de l’histoire, fait partie de ces êtres détestables qui attirent néanmoins leur entourage comme la lampe allumée séduit le moustique. C’est le genre d’homme pour qui tout s’achète, qui traite les autres comme des chiens mais vers qui l’on revient quand même parce qu’il remplit la gamelle…Il a noué une relation pseudo-amicale (est-ce un monde où l’on peut avoir des amis ?) avec Andrea Serrano, un scénariste qui n’est pas un ange mais exprime une note de gentillesse et d’authenticité dans un monde où rien n’est vrai.« Il a entretenu son physique sec en marchant et en nageant. Puis il l’a dégradé en buvant. Il a trouvé que la vie était une histoire décousue mais qu’il fallait la porter avec élégance. Et en l’étudiant il a commencé à la réécrire ».Oscar lui avait confié l’écriture de son nouveau film, par habitude de déléguer la moindre tâche de son existence à de petites mains payées au rabais mais, jugeant le résultat trop romantique, il a finalement préféré faire intervenir le réalisateur Attilio Fabris qui a profondément remanié l’histoire. Et c’est là tout le drame : Oscar Martello, si odieux soit-il, a de l’instinct et pressent que le film va être un échec retentissant.Il met alors sur pied un redoutable scénario afin de promouvoir le film tout en dissimulant habilement les faiblesses de l’intrigue.Je ne vous en dis pas plus mais ce qui m’a frappé dans le livre de Pino Corrias est ce talent pour la description. On s’immerge pleinement dans cet univers, ses codes, ses drames, son faste et son luxe qui cache de sombres magouilles. On le voit se dessiner sous nos yeux, on le sent, on l’entend et surtout, on l’éprouve.On peste contre ce terrible sentiment qu’il m’est déjà arrivé de ressentir dans la vraie vie : l’impression que le succès est parfois donné aux mauvaises personnes, que la réussite ne revient pas toujours aux plus méritants mais souvent à ceux qui parlent le plus fort.On plaint tous ceux qui sont obligés de courir après la lumière, tous ceux qui atterrissent au milieu de ce monde d’illusions après des parcours de vie tortueux et semés d’échecs… au risque de se faire broyer par une machine qui n’a pas de place pour des gens comme eux.Et peut-être qu’au fond, ce livre nous rappelle l’importance de la bienveillance. J’en retiens en tout cas cette citation :« Dans son micromonde, on utilisait les mots comme des pierres taillées à planter dans les vies d’autrui, comme des armes pour alimenter les mauvais sentiments, cultiver les jalousies, révéler des secrets, insinuer, calomnier, effrayer, se moquer, humilier. Et quasiment jamais pour demander, comprendre et consoler ».
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